Les institutions de Bretton Woods accusent le chef de l’Etat Burundais Evariste Ndayishimiye de piloter un cercle d’autorités du pays animées par la corruption qui gangrène le Burundi.
La Banque mondiale et le FMI dénoncent la responsabilité des dirigeants burundais dans l’entretien de la corruption.
Les institutions de Bretton Woods précisent que les autorités burundaises sont les plus corrompues que le reste de la populattion.
Le président Ndayishimiye a lui-même relaye le message dans une réunion tenue ce Mercredi soir avec les responsables administratives, militaires, policières et judiciaires au chef-lieu de la province MURAMVYA.
Le numéro un Burundais s’en prend à l’office burundais de recette OBR, qu’il reproche de manquement à sa mission et de favoriser ce phénomène de corruption.
Malgré les lamentations du président Evariste Ndayishimiye, la nomination des autorités et de l’OBR revient dans ses attributions. Compte tenu des coûts exorbitants de ses voyages.
Toutefois, Evariste Ndayishimiye n’a pas évoqué la question relative aux multiples déplacements à l’étranger effectués par lui-même et son épouse, que d’aucuns qualifient d’inopportuns et constituent une malversation économique notoire.
A ce sujet, au cours de ce mois d’Octobre seulement, la première dame Angeline Ndayishimiye à voyagé dans trois pays à savoir, l’Ouganda, l’Inde et la Turquie dont la visite reste en cours.
Freddy NKURUNZIZA